Résidence de création artistique 2025
Objectifs de l’action
Résidence de création artistique avec master classes, rencontres et répétitions publiques, débouchant sur une à deux représentations les 5 et 6 juillet 2025 en ouverture du 34e festival des Musiques d’ici et d’Ailleurs, avec captation audio et vidéo, dans la perspective d’une diffusion, comprenant un volet d’action culturelle à partir de la saison 2025 – 2026.

Contexte
Chaque année depuis 2006, Musiques sur la Ville accueille en résidence un(e) ou plusieurs artistes du Grand Est pour une création dont la première est présentée au public du festival des Musiques d’Ici et d’Ailleurs. Depuis 6 ans, les créations associent des ensembles du Conservatoire de Châlons-en-Champagne : après Anthonin Ternant et Black Bones en 2017 pour « Angel & the Demoniacs » avec le choeur adultes Les Bruits qui Courent, Christophe Roguin et Epikoi Enkor pour « Komptines » en 2018 avec la chorale d’enfants La Croche Choeur, Thomas Nguyen créait « Dreamland » en trio en 2019 avec l’Ensemble à Cordes et Thibault et Julien Batteux « The Call » en 2020 avec Brothers et un ensemble de cuivres et de percussions. Ian Caulfield associait cordes, percussions à clavier et petit choeur de jeunes adolescents en 2021, Léon Phal un quintet de saxophones à son projet « Dust to the Stars & More » en 2022, Leo Blomov un ensemble choeur, cordes et bois pour son projet éponyme en 2023 et Brisebard conviait percussionnistes, chanteur.se.s et danseuses pour produire son spectacle éponyme.

TORTOZA
Il est des musiques qui semblent avoir été faites pour s’inscrire dans la bande originale d’une existence. Comme le rappel d’un souvenir nostalgique qui rencontrerait sa propre B.O, au présent.
C’est le cas avec la musique de Tortoza, projet solo de Kevin Espich que d’aucun pourrait assimiler à un Nigel Gondrich rémois, avec sa musique taillée sur mesure pour illustrer les mouvements de la mémoire.
Sorti en 2024, le LP Empty Chair , délicat et sensible enrichi pour quelques chansons des voix de Ian Caulfiel et Temple Kid, plonge l’auditeur dans une forme de mélancolie inédite où la musique s’apparenterait à une image à écouter.
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